Avec le soutien de l’UBO et de la ville de Gouesnou, Dimitri Poupon (à gauche) a pu mener trois années de recherches pour sa thèse consacrée à Gouesnou sous l’Occupation. Stéphane Roudaut est satisfait que ce travail inscrive à jamais le massacre de Penguérec dans l’Histoire. (Le Télégramme/Valérie Gozdik)